« Né à Paris, grandi au Pays Basque et installé à la Baule. En fait, au fur et à mesure de mes envies de voile, j’ai longé la côte atlantique. Saint-Jean-de-Luz, puis Arcachon, la Rochelle, Lorient. Mais je me considère comme Baulois ». Et, plus qu’irréductible, un irrésistible Baulois, tant Sébastien Rogues, 38 ans, s’est forgé un palmarès impressionnant. D’un côté, il est toujours le plus jeune skipper à avoir gagné une Transat Jacques-Vabre (en Class40, en 2013). De l’autre, il a tout essayé sur plusieurs pattes, du GC32 en passant par le Flying Phantoms et autre Formule 28 . Jusqu’au passage logique à l’Ocean Fifty en 2019. S’ensuivaient une autre « Jacques-Vabre » empochée, deux autres sur le podium, et une Route du Rhum terminée 3e. Mais pas assez pour cette affamé de records. « Beaucoup rêvent de Vendée Globe, moi, c’est le trophée Jules-Verne », avoue celui qui n’en est pas pour autant rassasié de victoires avec son « Primonial » tout récent. « On fêtera ses un an à Port-Camargue », sourit Sébastien Rogues. Qui salive déjà de courir la MEDMAX Occitanie – Saïdia Resorts. « Un super circuit, avec des endroits incroyables qu’on va traverser. Des eaux sublimes, des joyaux de partout. On connaît ses caprices, il y a toujours des surprises. Mais la Méditerranée, c’est une navigation fabuleuse ». Qu’il va partager avec son complice Jean-Baptiste Gellée, son co-skipper depuis cinq ans. Solide, l’équipage « Primonial ».
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